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L’Association Burkinabè des Domaines Internet (ABDI) sonne la mobilisation des professionnels des médias pour une synergie entre journalisme, internet et culture en faveur de la promotion de l’internet au Burkina Faso. L’association envisage la mise en place du Club « Journalisme-internet et culture, Club JIC) à propos. 

« Journalisme, internet et culture : Quelle synergie pour un Burkina prospère ?», c’est sous cette thématique que l’Association burkinabè des domaines Internet (ABDI) a réuni des journalistes en marge de la 21e édition de la Semaine Nationale de la Culture, le mardi 30 avril 2024 à Bobo-Dioulasso.

L’internet a un impact sur le journalisme et la culture, qui sont des piliers importants de la société selon Essai Toé, secrétaire exécutif de L’Association burkinabè des domaines Internet (ABDI). À l’entendre, l’ABDI a la certitude qu’une synergie intelligente entre le journalisme l’internet et la culture, est un facteur clé de prospérité pour le Burkina Faso.

« Autrement dit, si nous arrivons à créer une symbiose, une interaction intelligente entre ces trois aspects peut constituer un facteur de prospérité pour le Burkina Faso », a-t-il expliqué aux journalistes.

Pour que cette conviction soit une réalité, l’ABDI propose la mise en place d’un club dénommé « Journalisme-internet et culture, Club JIC) avec pour mission de contribuer à « bâtir une identité numérique authentique pour un Burkina prospère ». « Nous sommes convaincu qu’allant dans ce sens, nous pouvons ensemble journalistes, spécialistes de l’internet et hommes de culture, arriver à faire en sorte que notre pays puisse aller de l’avant », a-t-il insisté.

Dans le cadre de sa mission de promotion de l’internet au Burkina Faso, l’Association Burkinabè des Domaines Internet (ABDI) a décidé donc d’associer la voie de la presse pour plus de résultat, d’où la rencontre de ce matin pour jeter les bases d’une synergie d’action entre journalistes, hommes de culture et professionnels du numérique.

« Nous avons voulu cette rencontre pour raffermir notre communication avec les médias. Pour nous, les médias offrent un statut particulier pour la communication des organisations dans la mesure où il s’agit à la fois partie prenante, amplificateur d’information, relai et de leader d’opinion. L’objectif de ce déjeuner de presse est double. D’abord rencontrer les journalistes, pour avoir un contact direct avec eux mais aussi rassembler un plus grand nombre pour partager des moments conviviaux », a-t-il laissé entendre.

Les professionnels des médias présents à la rencontre ont apprécié positivement l’initiative. À la sortie de cette rencontre, les acteurs entendent accorder leurs voies pour la promotion de l’internet au Burkina Faso.

En rappel, l’Association Burkinabè des Domaines Internet (ABDI) a été créée par les acteurs de la technologie de l’information et de la communication avec pour mission principale : contribuer au développement de l’internet au Burkina Faso.

Pour atteindre son objectif principal, elle se fixe comme objectifs spécifiques : d’assurer la gestion des noms de domaine Internet délégués au Burkina Faso (.bf); soutenir au développement des noms de domaine; promouvoir la migration des adresses IPv4 vers IPv6 au Burkina Faso ; promouvoir le développement de services supports pour les applications de l’économie numérique et leur fourniture aux prestataires de services etc.

Source : Akim KY – Burkina 24

L’Association burkinabè des domaines internet (ABDI) a organisé à Bobo-Dioulasso ce mardi 30 avril 2024, un petit déjeuner de presse. Cette rencontre est organisée à l’occasion de la SNC Bobo 2024 qui se tient du 27 avril au 4 mai prochain dans la ville de Sya. Placée sous le thème : « Journalisme, internet et culture : Quelle synergie pour un Burkina prospère ? », l’activité vise à créer un cadre d’échanges entre les membres de l’association et les professionnels de médias.

En marge de la 21e édition de la Semaine nationale de la culture (SNC/Bobo 2024), l’Association burkinabè des domaines internet organise à Bobo-Dioulasso, un certain nombre d’activités, en vue de faire la promotion de l’internet au Burkina Faso. C’est dans ce cadre que ce déjeuner de presse a été organisé avec les professionnels de médias pour faire connaitre l’association, et le produit phare que l’association gère qui est le nom de domaine « .bf ».

Ce nom de domaine est une ressource importante pour le fonctionnement de l’internet. Il représente le territoire numérique du Burkina Faso. Et chaque ressource numérique burkinabè comme les sites web, les messageries électroniques doivent pouvoir se terminer par .bf et non par des noms de domaines génériques. Cette rencontre avec les hommes de presse donne ainsi l’occasion à l’association de parler de ses missions mais aussi de faire la promotion de ce nom de domaine. « Nous avons voulu de cette rencontre pour raffermir notre communication avec les médias et créer un lien fort entre nous. Elle nous offre un cadre convivial pour échanger autour d’un petit déjeuner, de sorte à nous familiariser et à créer une proximité avec ces hommes de médias que nous avons », a expliqué le secrétaire exécutif de l’ABDI, Ezaï Toé.

Source : Lefaso.net

L’association Burkinabè des Domaines internet (ABDI) a organisé un petit déjeuner de presse, ce mardi 30 avril 2024 pour présenter l’association ainsi que ses activités. Placé sous le thème “Journalisme, Internet et Culture : Quelle synergie pour un Burkina prospère ?”, l’association entend à travers ce petit déjeuner de presse, établir le contact direct avec les professionnels de média et partager des moments conviviaux.

Ce petit déjeuner de presse, premier du genre pour l’association entre dans l’ordre des activités de l’association menées dans le cadre de la SNC2024. Il a regroupé une trentaine de journalistes autour du secrétaire exécutif de l’ABDI.

Autour des tables garnis, il a été question pour l’ABDI, d’entretenir ses convives sur la question du trio « journalisme, internet et culture ». Pour le secrétaire exécutif, il est important de pousser la réflexion sur ces trois domaines d’activités, tous des secteurs clés du développement socio-économique d’un pays. Cette importance selon lui, s’observe plus au niveau de l’impact que chacun de ses secteurs a sur l’autre.

Pour le secrétaire exécutif, en parlant de ce trio, « Tout de suite, on voit deux faits majeurs : l’internet aujourd’hui quoi qu’on dise a un impact important sur le journalisme tant sur le plan collecte et traitement que celui de la diffusion. Il a également un impact important sur la culture (notre façon de sentir, de penser et d’agir) ». Il y a donc selon Izai Toé, un constat irréfutable qui se dégage. « C’est que la culture et le journalisme sont des piliers importants de toute société » et vue que « au regard de l’évolution technologique, l’internet est devenu un outil qui impacte tous les aspects de la société », c’est une réflexion qui s’impose.

Sur la base de ces rapprochements, l’ABDI reste convaincu qu’une synergie intelligente entre le journalisme, l’internet et la culture est un facteur clé de prospérité pour le Burkina Faso. « La culture comme on aime le dire, est ce qui nous reste lorsqu’on a tout perdu et aussi l’information, c’est le 4^e pouvoir » a soutenu le secrétaire exécutif.

Pour ce faire, l’ABDI propose de créer un club JIC (Journalisme-Internet-Culture) dont la mission sera de contribuer à bâtir une identité culturelle authentique pour un Burkina prospère. Izai Toé dit être convaincu qu’en allant dans ce sens, nous pouvons ensemble, journaliste, spécialiste de l’internet et homme de culture apporter notre contribution au développement socio-économique du Burkina Faso.

Ce déjeuner de presse a également été l’occasion pour l’ABDI de faire découvrir l’entité et son produit phare qui est le nom de domaine « .bf » aux hommes et femmes de média. « Ce nom de domaine de 30 ans d’âge représente le territoire du Burkina Faso sur internet. Il garantit une plus grande sécurité pour les burkinabè et se veut également être un signe de patriotisme », a fait savoir le secrétaire exécutif, Izai Toé. L’objectif au dire du secrétaire exécutif, Izai Toé, et de faire des professionnels de l’information, des relais de communication sur le nom de domaine « .bf ».

Les convives du jour tout en félicitant les organisateurs disent avoir accueilli l’initiative de l’ABDI avec intérêt. Chose qu’ils ont fait savoir à travers leur participation aux échanges.

En rappel, l’Association Burkinabè des Domaines Internet (ABDI) est une organisation de la société civile burkinabè, à but non lucratif, apolitique et laïque, créée par les acteurs du secteur des technologies de l’information et de la communication en vue de contribuer au développement de l’Internet au Burkina Faso. Par délégation de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP), elle assure la fonction d’opérateur du registre des noms de domaine de premier niveau « .bf », la coordination de la migration des adresses IPv4 vers IPv6 et la gestion du fonds de soutien au développement de l’Internet au Burkina Faso.

Source : Abdoul Aziz HEMA/Zagla

L’Association burkinabè des domaines internet (ABDI) a organisé, ce vendredi 12 avril 2024, à Ouagadougou, la première édition de Internet Protocole version 6 IPv6 forum Burkina Faso.

C’est sur le thème « Transition vers IPv6 au Burkina Faso : Etat des lieux et perspectives » que s’est tenu le forum. L’objectif est d’accélérer le processus de migration de l’IPv4 vers l’IPv6.

Organisé par l’ABDI, ce forum réunit les acteurs clés du numérique pour discuter des enjeux et des opportunités de migration vers IPv6 au Burkina Faso. L’objectif du forum est de développer le réseau des acteurs de l’adressage sur internet; d’organiser des échanges interactifs et inclusifs sur la transition vers IPv6, de formuler des recommandations pour la transition vers IPv6.

« Le développement d’internet a profondément modifié notre mode de vie. Aujourd’hui, internet est un outil indispensable à notre quotidien. L’un des éléments essentiels pour les communications sur internet, c’est son protocole appelé internet protocole. Aujourd’hui, la version qui est en vigueur c’est la version 4 et c’est ce protocole qui permet d’identifier, d’adresser les objets et de permettre les communications sur Internet », a indiqué le ministre de la Transition digitale, des postes et communications électroniques, Aminata Zerbo.

À l’entendre, cette version 4 a une capacité d’identifier et d’adresser un peu moins de 5 milliards d’objets, mais aujourd’hui il est dénombré plus de 20 milliards d’objets connectés et cela montre les limites de cette version.

Pour la ministre en charge de la transition digitale, il était donc important pour les acteurs de trouver un mécanisme pour permettre de poursuivre le développement d’internet surtout le développement des nouvelles technologies émergentes que sont par exemple l’internet des objets.

« Les acteurs ont réfléchi et proposé une autre version de ce protocole qui devrait permettre d’avoir une grande capacité d’identification et d’adressage des objets et une meilleure sécurité sur Internet », a-t-elle expliqué.

Lefaso.net